MICHÈLE LEPEER
PEINTRE, DESSINATRICE, GRAVEUSE, INSTALLATION
• Née en 1954
• Vit et travaille à Vinsobres
« L’art ne reproduit pas le visible, mais rend visible »
Paul Klee
Une artiste, qu’elle soit peintre, poète, romancière, musicienne, auteure de théâtre, danseuse ou réalisatrice peut ressentir un besoin irrépressible de dénoncer l’injustice, de résister, de faire réfléchir, avec les outils qui sont les siens. Il semble que je fasse partie de cette espèce-là.
La peinture comme je la vis est un langage, porteur de sens et de sensations, interculturel, interdisciplinaire, un observatoire/laboratoire en bordure du monde. C’est avec l’éthique et l’esthétique comme garde-fous, que je tente depuis plus de vingt-cinq ans de représenter, de re-présenter les enfants, les hommes et les femmes confrontés à des violences souvent extrêmes.
Mon savoir-faire apaise mon lieu intérieur, m’aide à vivre, j’y trouve une cohérence qui me permet de « tenir », d’éviter le morcèlement ou l’effondrement face à ce qu’un être humain comme moi, est en capacité de faire subir à son semblable. L’empathie me guide.
Je tente de faire avec ce que je suis, au plus juste, au plus près de moi, dans ma propre respiration, à mon rythme dans la marche du monde. Rester, autant que possible « authentique » avec moi-même. ..
Un tableau est un lieu, une croisée de chemins.
MICHÈLE LEPEER
PEINTRE, DESSINATRICE, GRAVEUSE, INSTALLATION
• Née en 1954
• Vit et travaille à Vinsobres
« L’art ne reproduit pas le visible, mais rend visible »
Paul Klee
Une artiste, qu’elle soit peintre, poète, romancière, musicienne, auteure de théâtre, danseuse ou réalisatrice peut ressentir un besoin irrépressible de dénoncer l’injustice, de résister, de faire réfléchir, avec les outils qui sont les siens. Il semble que je fasse partie de cette espèce-là.
La peinture comme je la vis est un langage, porteur de sens et de sensations, interculturel, interdisciplinaire, un observatoire/laboratoire en bordure du monde. C’est avec l’éthique et l’esthétique comme garde-fous, que je tente depuis plus de vingt-cinq ans de représenter, de re-présenter les enfants, les hommes et les femmes confrontés à des violences souvent extrêmes.
Mon savoir-faire apaise mon lieu intérieur, m’aide à vivre, j’y trouve une cohérence qui me permet de « tenir », d’éviter le morcèlement ou l’effondrement face à ce qu’un être humain comme moi, est en capacité de faire subir à son semblable. L’empathie me guide.
Je tente de faire avec ce que je suis, au plus juste, au plus près de moi, dans ma propre respiration, à mon rythme dans la marche du monde. Rester, autant que possible « authentique » avec moi-même. ..
Un tableau est un lieu, une croisée de chemins.