GILBERT SCOTTI
PHOTOGRAPHE
• Né en 1952
• Vit et travaille à Pujaut
Autodidacte, j’ai eu mon premier appareil photo à l’âge de 14 ans, ce fut une révélation.
Capter les instants d’émotions, la famille, les copains, l’armée…
Au fil du temps mon attirance pour le portrait s’est imposée, la rencontre, l’échange.
La rue est également un terrain que j’affectionne, saisir des scènes du quotidien, entre photographie sociale, humaniste, et photographie documentaire. En témoigne mon travail sur les sans-abris et sur les femmes gilets jaunes.
A l’été 2011, lors d’un atelier dans le cadre des Rencontres Photographiques d’Arles, j’ai choisi de rencontrer et de réaliser des portraits de compagnons d’Emmaüs dans la communauté d’Arles où j’ai passé une semaine en immersion.
J’ai alors échangé avec ces femmes et ces hommes aux parcours difficiles et parfois chaotiques. Sans jamais m’imposer, j’ai patiemment tissé des liens de confiance dans le plus grand respect de ces personnes que je souhaitais rencontrer et photographier depuis longtemps. J’ai ensuite poursuivi ma démarche dans les communautés de Montpellier, Narbonne, Alès et Marguerittes.
Depuis 2011 je leur rends visite régulièrement et continu de les photographier, j’ai tissé avec eux des liens indéfectibles.
J’aime également la photographie de spectacle et de concert.
J’ai souvent collaboré avec le théâtre du Balcon à Avignon.
GILBERT SCOTTI
PHOTOGRAPHE
• Né en 1952
• Vit et travaille à Pujaut
Autodidacte, j’ai eu mon premier appareil photo à l’âge de 14 ans, ce fut une révélation.
Capter les instants d’émotions, la famille, les copains, l’armée…
Au fil du temps mon attirance pour le portrait s’est imposée, la rencontre, l’échange.
La rue est également un terrain que j’affectionne, saisir des scènes du quotidien, entre photographie sociale, humaniste, et photographie documentaire. En témoigne mon travail sur les sans-abris et sur les femmes gilets jaunes.
A l’été 2011, lors d’un atelier dans le cadre des Rencontres Photographiques d’Arles, j’ai choisi de rencontrer et de réaliser des portraits de compagnons d’Emmaüs dans la communauté d’Arles où j’ai passé une semaine en immersion.
J’ai alors échangé avec ces femmes et ces hommes aux parcours difficiles et parfois chaotiques. Sans jamais m’imposer, j’ai patiemment tissé des liens de confiance dans le plus grand respect de ces personnes que je souhaitais rencontrer et photographier depuis longtemps. J’ai ensuite poursuivi ma démarche dans les communautés de Montpellier, Narbonne, Alès et Marguerittes.
Depuis 2011 je leur rends visite régulièrement et continu de les photographier, j’ai tissé avec eux des liens indéfectibles.
J’aime également la photographie de spectacle et de concert.
J’ai souvent collaboré avec le théâtre du Balcon à Avignon.