ANNIE MORVAN
PEINTRE
• Née en 1956
• Vit et travaille à Avignon
Engagée dans une démarche amateur depuis plus de 25 ans, j’ai toujours privilégié le travail en atelier de groupe.
Le collectif favorise les dépaysements, les confrontations, les surprises, les partages imaginaires et intellectuels.
Je travaille essentiellement à l’huile et j’associe différentes techniques mixtes .
Je peins en pensant à la matière, notre matière commune qui se coagule sur la toile, se compose, se disperse et se recompose dans le lent travail de création.
En référence constante à l’histoire de l’art, mon travail reflète le désir d’ aller vers le monde qui arrive, d’essayer de le représenter et de percevoir les traces, les signes des changements à venir.
Repères / Textes
« Ne pas se séparer du monde… ne pas se perdre et ne pas perdre, de soi, ce qui dort dans le monde » Albert Camus , Carnets.
« Ceux qui savent le recevoir, le paysage vient jusque dans leur maison, et la lumière et le vent portant sur ses épaules son parfum et bien d’autres choses encore ». R M Rilke.
ANNIE MORVAN
PEINTRE
• Née en 1956
• Vit et travaille à Avignon
Engagée dans une démarche amateur depuis plus de 25 ans, j’ai toujours privilégié le travail en atelier de groupe.
Le collectif favorise les dépaysements, les confrontations, les surprises, les partages imaginaires et intellectuels.
Je travaille essentiellement à l’huile et j’associe différentes techniques mixtes .
Je peins en pensant à la matière, notre matière commune qui se coagule sur la toile, se compose, se disperse et se recompose dans le lent travail de création.
En référence constante à l’histoire de l’art, mon travail reflète le désir d’ aller vers le monde qui arrive, d’essayer de le représenter et de percevoir les traces, les signes des changements à venir.
Repères / Textes
« Ne pas se séparer du monde… ne pas se perdre et ne pas perdre, de soi, ce qui dort dans le monde » Albert Camus , Carnets.
« Ceux qui savent le recevoir, le paysage vient jusque dans leur maison, et la lumière et le vent portant sur ses épaules son parfum et bien d’autres choses encore ». R M Rilke.