ALEXANDRE PETRUS
PEINTRE, STREET ART, POCHOIR
• Né en 1988
• Vit et travaille à Villeneuve-lès-Avignon
Un scalpel dans la main gauche, un aérosol dans la main droite, c’est dans la pratique du pochoir que je trouve mon exutoire.
Autodidacte, j’ai appris et développé mon art en observant les artistes que j’admire. De Pierre-Benoit Dumont connu sous le nom d’Artiste-Ouvrier, à des noms comme C215, Epsylon Point, Andy Warhol ou encore le très célèbre peintre du XVIIe, Johanne Vermeer.
Méticuleux dans mes découpes, instinctif dans ma peinture, j’explore l’union des opposés. Je cherche à lier spontanéité créative et réflexion artistique.
Pour cela je sélectionne des photos, des images desquelles j’extrais l’essentiel ; l’ombre et la lumière. Un essentiel qui prend la forme de deux pochoirs bien distincts que j’appose sur un fond abstrait réalisé à l’aérosol et à l’acrylique de manière spontanée où coexistent mélange de couleurs et mouvements. C’est sur fond de philosophie asiatique que prend forme l’unité dans la dualité.
Mes peintures sont une ode à la vie, un hommage à ce qui existe et a existé. Elles sont emprunts d’enthousiasme et d’optimisme c’est ce que je souhaite partager.
Le spectateur devrait apprécier la peinture dans son ensemble avant de chercher à la décomposer et s’interroger : le fond fait-il la forme ou bien l’inverse?
ALEXANDRE PETRUS
PEINTRE, STREET ART, POCHOIR
• Né en 1988
• Vit et travaille à Villeneuve-lès-Avignon
Un scalpel dans la main gauche, un aérosol dans la main droite, c’est dans la pratique du pochoir que je trouve mon exutoire.
Autodidacte, j’ai appris et développé mon art en observant les artistes que j’admire. De Pierre-Benoit Dumont connu sous le nom d’Artiste-Ouvrier, à des noms comme C215, Epsylon Point, Andy Warhol ou encore le très célèbre peintre du XVIIe, Johanne Vermeer.
Méticuleux dans mes découpes, instinctif dans ma peinture, j’explore l’union des opposés. Je cherche à lier spontanéité créative et réflexion artistique.
Pour cela je sélectionne des photos, des images desquelles j’extrais l’essentiel ; l’ombre et la lumière. Un essentiel qui prend la forme de deux pochoirs bien distincts que j’appose sur un fond abstrait réalisé à l’aérosol et à l’acrylique de manière spontanée où coexistent mélange de couleurs et mouvements. C’est sur fond de philosophie asiatique que prend forme l’unité dans la dualité.
Mes peintures sont une ode à la vie, un hommage à ce qui existe et a existé. Elles sont emprunts d’enthousiasme et d’optimisme c’est ce que je souhaite partager.
Le spectateur devrait apprécier la peinture dans son ensemble avant de chercher à la décomposer et s’interroger : le fond fait-il la forme ou bien l’inverse?