BRUNO BIENFAIT
SCULPTEUR
• Né en 1958
• Vit et travaille à Puyméras
Une forme de géométrie primitive…
Sculpture abstraite sur bois. Intérieure et extérieure, petite, moyenne ou monumentale.
Travail en taille directe sur des troncs d’arbre d’essences diverses : cyprès et cèdre pour l’extérieur, tilleul, noyer, chêne ou bois tropical pour l’intérieur. Finitions brutes ou patinées à l’aide de techniques anciennes à base de pigments naturels, d’essence de térébenthine, d’huile de lin et de cire d’abeille.
Repères / Textes
En grec, le terme Kosmos désigne l’univers conçu comme un tout ordonné, par opposition au chaos.
J’ai toujours été fasciné par les nuits étoilées, elles représentent pour moi les portes de l’infini. Le temps s’y est retiré, plus rien n’est à l’échelle humaine et je suis confronté à une autre dimension.
Cette perte de repères, l’inquiétude suggérée par l’absence de limites et l’immensité de l’inconnu, me pousse à chercher un langage, des mots et surtout des formes pour ébaucher une réponse ou tout au moins me situer dans cette géographie du temps et de l’espace.
Alors mon travail emprunte la forme d’une sorte de géométrie primitive faisant appel à des figures et des formes élémentaires, ondes, spirales… Toujours à la recherche d’équilibre et d’harmonie, je tente de donner une forme au chaos.
B. 2022
BRUNO BIENFAIT
SCULPTEUR
• Né en 1958
• Vit et travaille à Puyméras
Une forme de géométrie primitive…
Sculpture abstraite sur bois. Intérieure et extérieure, petite, moyenne ou monumentale.
Travail en taille directe sur des troncs d’arbre d’essences diverses : cyprès et cèdre pour l’extérieur, tilleul, noyer, chêne ou bois tropical pour l’intérieur. Finitions brutes ou patinées à l’aide de techniques anciennes à base de pigments naturels, d’essence de térébenthine, d’huile de lin et de cire d’abeille.
Repères / Textes
En grec, le terme Kosmos désigne l’univers conçu comme un tout ordonné, par opposition au chaos.
J’ai toujours été fasciné par les nuits étoilées, elles représentent pour moi les portes de l’infini. Le temps s’y est retiré, plus rien n’est à l’échelle humaine et je suis confronté à une autre dimension.
Cette perte de repères, l’inquiétude suggérée par l’absence de limites et l’immensité de l’inconnu, me pousse à chercher un langage, des mots et surtout des formes pour ébaucher une réponse ou tout au moins me situer dans cette géographie du temps et de l’espace.
Alors mon travail emprunte la forme d’une sorte de géométrie primitive faisant appel à des figures et des formes élémentaires, ondes, spirales… Toujours à la recherche d’équilibre et d’harmonie, je tente de donner une forme au chaos.
B. 2022