CATHERINE TARTANAC
PEINTRE
• Née en 1961
• Vit et travaille à Lauris
Je dessine et peins depuis très longtemps (enfance). Pas de désir d’esthétique ou de séduction mais simplement l’élan vital.
Mon médium favori est l’huile, que je trouve si sensuelle, difficile, lente, travaillée sur de la toile souvent de grand format. Je dessine beaucoup de petites séries, (plomb, fusain, pierre, ou encres) d’après la nature : végétaux, horizons, montagnes, rochers, mer… mais aussi d’après des fresques ou tableaux mythologiques, bibliques aimés, ou imaginés, d’un souvenir, centrés sur le corps et la figure humaine.
J’explore et collectionne les effets produits, mouvements, lignes de fuite, perspective, n’en garde souvent que la trace. Alors s’impose un projet imaginaire dont je ne connais jamais l’issue par avance.
La lumière et les couleurs font surgir des formes, des profondeurs, des espaces.
En ce moment, j’explore la peinture sur papier que je maroufle sur de la toile, sont nées alors dans cette veine des visions de jardins de couleurs, des géants aux pieds évanescents, pour dire un peu de ces racines du monde.
Catherine Tartanac, mai 2020
Repères / Textes
« Ce que Catherine Tartanac nous donne à voir ce sont nos propres paysages, ceux que les artifices de son art, ses éclairages subits, ses évanescences, ses violentes apparitions, comme jaillies du choc de mondes contraires, ses envolées, ses plongées dans des gouffres de lumière, éveillent en nous.
Sans doute peut-elle nous parler de son chemin à travers la lumière et la couleur, de ce qu’elles lui apprennent d’elle-même. Toute création est pour qui s’y aventure une « exposition » de soi. Pourtant, je me plais à oublier ce que Catherine Tartanac me dit d’elle pour recevoir à travers chacune de ses œuvres ce qu’elle me laisse découvrir de moi. Ou ce qu’elle m’invite à rechercher en moi. »
Marc Netter
CATHERINE TARTANAC
PEINTRE
• Née en 1961
• Vit et travaille à Lauris
Je dessine et peins depuis très longtemps (enfance). Pas de désir d’esthétique ou de séduction mais simplement l’élan vital.
Mon médium favori est l’huile, que je trouve si sensuelle, difficile, lente, travaillée sur de la toile souvent de grand format. Je dessine beaucoup de petites séries, (plomb, fusain, pierre, ou encres) d’après la nature : végétaux, horizons, montagnes, rochers, mer… mais aussi d’après des fresques ou tableaux mythologiques, bibliques aimés, ou imaginés, d’un souvenir, centrés sur le corps et la figure humaine.
J’explore et collectionne les effets produits, mouvements, lignes de fuite, perspective, n’en garde souvent que la trace. Alors s’impose un projet imaginaire dont je ne connais jamais l’issue par avance.
La lumière et les couleurs font surgir des formes, des profondeurs, des espaces.
En ce moment, j’explore la peinture sur papier que je maroufle sur de la toile, sont nées alors dans cette veine des visions de jardins de couleurs, des géants aux pieds évanescents, pour dire un peu de ces racines du monde.
Catherine Tartanac, mai 2020
Repères / Textes
« Ce que Catherine Tartanac nous donne à voir ce sont nos propres paysages, ceux que les artifices de son art, ses éclairages subits, ses évanescences, ses violentes apparitions, comme jaillies du choc de mondes contraires, ses envolées, ses plongées dans des gouffres de lumière, éveillent en nous.
Sans doute peut-elle nous parler de son chemin à travers la lumière et la couleur, de ce qu’elles lui apprennent d’elle-même. Toute création est pour qui s’y aventure une « exposition » de soi. Pourtant, je me plais à oublier ce que Catherine Tartanac me dit d’elle pour recevoir à travers chacune de ses œuvres ce qu’elle me laisse découvrir de moi. Ou ce qu’elle m’invite à rechercher en moi. »
Marc Netter