CHRISTINE DABADIE-FABREGUETTES
CALLIGRAPHE, PEINTRE
• Née en 1943
• Vit à Avignon et travaille à Avignon et à Brantes
J’aime travailler en écho à un poème, une musique, une rencontre, un élément ou une saison de la nature dont la présence réveille en moi des émotions enfouies. J’aime jouer avec les signes de l’écriture chinoise qui sont autant de poèmes en images.
J’aime laisser le pinceau danser sur le papier au rythme des mouvements du cœur.
J’aime vivre en résonance et laisser l’encre tracer et cacher dans le papier les mystères de la vie.
J’utilise les outils traditionnels des peintres-poètes-calligraphes : l’encre au noir profond qui illumine le blanc du papier et s’écoule en une infinité de gris jusqu’à disparaître en lui, un papier végétal d’une grande douceur qui se laisse pénétrer par l’encre jusqu’au cœur, les couleurs végétales ou minérales qui apportent à l’œuvre la dimension symphonique et, en chef d’orchestre, le pinceau aux longs poils de chèvre qui prolonge le geste avec souplesse et donne le rythme.
Repères / Textes
J’aime aussi le travail collectif qui donne naissance à des réalisations artistiques qui tirent leur singularité de l’interaction des participants.
A travers les tâtonnements inhérents à la mise en œuvre d’une réalisation plastique, fresque, sculpture, espace de vie, le groupe se constitue comme créateur. Il donne naissance à une réalité sociale nouvelle, sa propre réalité faite d’interrelations fécondes. En donnant un nouveau visage à un espace public partagé, il suscite un renouvellement du regard qui éclaire le quotidien de tous.
Dans la pratique théâtrale aussi tout n’est que relation. Dans un espace-temps magique, nous jouons notre vie entre amour et mort, confrontés ensemble à nous-mêmes avec autant de légèreté que de gravité ; ainsi advient la nouveauté du monde redécouverte et célébrée ensemble.
J’aime ces pratiques collectives où s’exprime l’inutile et sublime beauté de notre humanité.
CHRISTINE DABADIE-FABREGUETTES
CALLIGRAPHE, PEINTRE
• Née en 1943
• Vit à Avignon et travaille à Avignon et à Brantes
J’aime travailler en écho à un poème, une musique, une rencontre, un élément ou une saison de la nature dont la présence réveille en moi des émotions enfouies. J’aime jouer avec les signes de l’écriture chinoise qui sont autant de poèmes en images.
J’aime laisser le pinceau danser sur le papier au rythme des mouvements du cœur.
J’aime vivre en résonance et laisser l’encre tracer et cacher dans le papier les mystères de la vie.
J’utilise les outils traditionnels des peintres-poètes-calligraphes : l’encre au noir profond qui illumine le blanc du papier et s’écoule en une infinité de gris jusqu’à disparaître en lui, un papier végétal d’une grande douceur qui se laisse pénétrer par l’encre jusqu’au cœur, les couleurs végétales ou minérales qui apportent à l’œuvre la dimension symphonique et, en chef d’orchestre, le pinceau aux longs poils de chèvre qui prolonge le geste avec souplesse et donne le rythme.
Repères / Textes
J’aime aussi le travail collectif qui donne naissance à des réalisations artistiques qui tirent leur singularité de l’interaction des participants.
A travers les tâtonnements inhérents à la mise en œuvre d’une réalisation plastique, fresque, sculpture, espace de vie, le groupe se constitue comme créateur. Il donne naissance à une réalité sociale nouvelle, sa propre réalité faite d’interrelations fécondes. En donnant un nouveau visage à un espace public partagé, il suscite un renouvellement du regard qui éclaire le quotidien de tous.
Dans la pratique théâtrale aussi tout n’est que relation. Dans un espace-temps magique, nous jouons notre vie entre amour et mort, confrontés ensemble à nous-mêmes avec autant de légèreté que de gravité ; ainsi advient la nouveauté du monde redécouverte et célébrée ensemble.
J’aime ces pratiques collectives où s’exprime l’inutile et sublime beauté de notre humanité.