LÉA BARRIER
PHOTOGRAPHE, PLASTICIENNE, TATOUEUSE
• Née en 1990
• Vit et travaille à Avignon
Ma pratique explore les portes du sensible, à la recherche de l’invisible, de l’intime et plus particulièrement du sacré. La photographie a été, dès le départ, un moyen de parler du « je » à travers l’autre. J’ai tout d’abord exploré ce jeu du double avec mes amies. À travers le miroir de l’autre, j’ai interrogé l’identité, le corps et la sacralité de l’être.
En 2018, ce dialogue avec l’altérité atteint une forme d’accomplissement, et je ressens alors le besoin de faire face à l’objectif, seule. Je commence à travailler autour des différents archétypes, j’interroge les polarités du masculin et du féminin, du sacré et du profane, du caché et du dévoilé.
Au fil de parcours initiatiques mêlant arts ésotériques et spiritualité, le tarot devient une source d’inspiration majeure dans mes dessins et en photographie. Le corps et le sacré, deviennent mes axes de réflexion dans cette quête de l’invisible.
Que je m’exprime à travers la photographie, le dessin à l’encre ou le tatouage, mon travail est traversé par un même fil : celui du sens, de l’intime, de l’initiation, de la mémoire et de la transformation.
LÉA BARRIER
PHOTOGRAPHE, PLASTICIENNE, TATOUEUSE
• Née en 1990
• Vit et travaille à Avignon
Ma pratique explore les portes du sensible, à la recherche de l’invisible, de l’intime et plus particulièrement du sacré. La photographie a été, dès le départ, un moyen de parler du « je » à travers l’autre. J’ai tout d’abord exploré ce jeu du double avec mes amies. À travers le miroir de l’autre, j’ai interrogé l’identité, le corps et la sacralité de l’être.
En 2018, ce dialogue avec l’altérité atteint une forme d’accomplissement, et je ressens alors le besoin de faire face à l’objectif, seule. Je commence à travailler autour des différents archétypes, j’interroge les polarités du masculin et du féminin, du sacré et du profane, du caché et du dévoilé.
Au fil de parcours initiatiques mêlant arts ésotériques et spiritualité, le tarot devient une source d’inspiration majeure dans mes dessins et en photographie. Le corps et le sacré, deviennent mes axes de réflexion dans cette quête de l’invisible.
Que je m’exprime à travers la photographie, le dessin à l’encre ou le tatouage, mon travail est traversé par un même fil : celui du sens, de l’intime, de l’initiation, de la mémoire et de la transformation.
