LUCAS GUILLEMOT
PEINTRE
• Né en 1979
• Vit et travaille à Avignon
Depuis mon plus jeune âge j’ai vu mes parents exercer une activité artistique. Vers l’âge de 15 ans et suite à une rencontre avec une enseignante d’arts plastiques, je commence à dessiner et à peindre régulièrement. Au cours de l’année 2017, je réalise spontanément une peinture faisant apparaître différentes sortes de créatures, faites de bric et de broc, et piochant indistinctement leurs attributs dans les objets du quotidien et dans les différents règnes (minéral, végétal, animal, humain). Cette peinture fait la part belle à l’hybridation, et sera le début d’un ensemble reprenant certains des codes de la peinture grotesque tout en les intégrant à une vision singulière. A partir de 2020 je commence une nouvelle série dans laquelle l’esprit du grotesque et le mélange des genres sont toujours présents, mais davantage à travers le rapprochement étroit de réalités hétérogènes et de formes qui s’interpénètrent. Dans ce travail, je cherche à ce que mes peintures baignent dans une atmosphère d’inquiétante étrangeté, juxtaposant des formes humaines avec des formes d’altérité non-humaine (animaux fantasmagoriques, anges, démons, extraterrestres…) qui coexistent ainsi dans un même espace. Je me nourris de l’art brut et singulier ainsi que des réflexions très inspirantes d’Hundertwasser lorsqu’il suggère de peindre « presque comme un somnambule » ou d’être un « outil pour ce certain Quelque chose, qui vient d’ailleurs.
Repères / Textes
« «Le pays des chimères est en ce monde le seul digne d’être habité (…)»
Rousseau Jean-Jacques, La Nouvelle Héloïse, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléïade, 1964, p. 693-694
LUCAS GUILLEMOT
PEINTRE
• Né en 1979
• Vit et travaille à Avignon
Depuis mon plus jeune âge j’ai vu mes parents exercer une activité artistique. Vers l’âge de 15 ans et suite à une rencontre avec une enseignante d’arts plastiques, je commence à dessiner et à peindre régulièrement. Au cours de l’année 2017, je réalise spontanément une peinture faisant apparaître différentes sortes de créatures, faites de bric et de broc, et piochant indistinctement leurs attributs dans les objets du quotidien et dans les différents règnes (minéral, végétal, animal, humain). Cette peinture fait la part belle à l’hybridation, et sera le début d’un ensemble reprenant certains des codes de la peinture grotesque tout en les intégrant à une vision singulière. A partir de 2020 je commence une nouvelle série dans laquelle l’esprit du grotesque et le mélange des genres sont toujours présents, mais davantage à travers le rapprochement étroit de réalités hétérogènes et de formes qui s’interpénètrent. Dans ce travail, je cherche à ce que mes peintures baignent dans une atmosphère d’inquiétante étrangeté, juxtaposant des formes humaines avec des formes d’altérité non-humaine (animaux fantasmagoriques, anges, démons, extraterrestres…) qui coexistent ainsi dans un même espace. Je me nourris de l’art brut et singulier ainsi que des réflexions très inspirantes d’Hundertwasser lorsqu’il suggère de peindre « presque comme un somnambule » ou d’être un « outil pour ce certain Quelque chose, qui vient d’ailleurs.
Repères / Textes
« «Le pays des chimères est en ce monde le seul digne d’être habité (…)»
Rousseau Jean-Jacques, La Nouvelle Héloïse, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléïade, 1964, p. 693-694