MARGRET STORCK
PEINTRE, PHOTOGRAPHE
• Née en 1954
• Vit et travaille à Sablet
Un bon tableau c’est comme un bruit violent.
Nous sommes habitués à vivre avec des images mais aussi à les rejeter rapidement, à moins que nous les ignorions spontanément. Lorsque nous nous laissons toucher par elles, c’est plutôt contre notre gré, en résistant.
Je peins des tableaux, et je les peins comme des témoignages d’une perception de la réalité, qui redonne à ce matériau négligé de notre perception, une légitimité.
Tous les jours, toutes les nuits, je m’intéresse à la perception des impressions. Il s’agit exactement des images qui se créent dans la rêverie ou qui me préoccupent en tant que bribes de mon expérience quotidienne.
Mes tableaux sont le reflet de mon imagination.
Sur le mode de l’intériorité, je retrouve la liberté picturale qui me permet de dépasser la surface du rapport objet-espace.
Comme il ne s’agit toujours que d’un tableau, ou si l’on préfère d’une multitude de tableaux, je ne peux pas m’empêcher de dire, que seule l’image que je porte avec moi en ce moment compte pour moi, celui que je commence à peindre aujourd’hui. Fabriquer autant d’objets d’art que possible ne m’intéresse pas, je suis sensible au processus qui conduit à une œuvre (achevée). C’est tout ce qui compte.
D’origine hanséatique – née à Brême en 1954 – elle a suivi des études à l’Académie des Beaux-arts.
Elle obtient le Young Printmaker Prize à Bradford en Angleterre en 1979 ainsi qu’en 1981 le prix de sa ville natale pour la promotion des beaux-arts.
Ses œuvres ont été acquises par le Altes Museum Berlin, le Senat du Land Brême et des collections privées.
Depuis elle expose régulièrement en Allemagne et en France.
Elle vit et travaille à Sablet.
MARGRET STORCK
PEINTRE, PHOTOGRAPHE
• Née en 1954
• Vit et travaille à Sablet
Un bon tableau c’est comme un bruit violent.
Nous sommes habitués à vivre avec des images mais aussi à les rejeter rapidement, à moins que nous les ignorions spontanément. Lorsque nous nous laissons toucher par elles, c’est plutôt contre notre gré, en résistant.
Je peins des tableaux, et je les peins comme des témoignages d’une perception de la réalité, qui redonne à ce matériau négligé de notre perception, une légitimité.
Tous les jours, toutes les nuits, je m’intéresse à la perception des impressions. Il s’agit exactement des images qui se créent dans la rêverie ou qui me préoccupent en tant que bribes de mon expérience quotidienne.
Mes tableaux sont le reflet de mon imagination.
Sur le mode de l’intériorité, je retrouve la liberté picturale qui me permet de dépasser la surface du rapport objet-espace.
Comme il ne s’agit toujours que d’un tableau, ou si l’on préfère d’une multitude de tableaux, je ne peux pas m’empêcher de dire, que seule l’image que je porte avec moi en ce moment compte pour moi, celui que je commence à peindre aujourd’hui. Fabriquer autant d’objets d’art que possible ne m’intéresse pas, je suis sensible au processus qui conduit à une œuvre (achevée). C’est tout ce qui compte.
D’origine hanséatique – née à Brême en 1954 – elle a suivi des études à l’Académie des Beaux-arts.
Elle obtient le Young Printmaker Prize à Bradford en Angleterre en 1979 ainsi qu’en 1981 le prix de sa ville natale pour la promotion des beaux-arts.
Ses œuvres ont été acquises par le Altes Museum Berlin, le Senat du Land Brême et des collections privées.
Depuis elle expose régulièrement en Allemagne et en France.
Elle vit et travaille à Sablet.