MARIE-ODILE GINIÈS
PEINTRE, DESSINATRICE
• Née en 1954
• Vit et travaille à Avignon
Au départ: des lieux, des choses, des situations… qui ont capté mon attention.
Puis des photographies, des esquisses, des croquis… pour aboutir à une production picturale souvent de grand format.
Sur le support, privilégiant de la toile libre, s’associent dessin et peinture.
Les sujets récurrents: les machines, l’univers industriel, les lieux abandonnés, les ateliers, mais pas seulement.
Repères / Textes
Peindre par défaut? Peut-être.
Parce que j’ai toujours désiré écrire et que je n’ai jamais fait le pas. si j’avais choisi l’écriture, j’aurai sans doute fait la même chose: choisir des images, les redéfinir, les confronter, les donner à voir. Je peins ce qui me touche d’après des photographies trouvées ou faites au hasard de mes vagabondages.
Je peins surtout pour le plaisir toujours renouvelé de découvrir que ce que j’avais projeté n’est pas tout à fait ce que j’ai obtenu, je peins pour cette surprise là, parce que j’aime les outils, la texture, le silence de l’atelier, le temps passé à me confronter avec ce que le regard avait saisi.
MARIE-ODILE GINIÈS
PEINTRE, DESSINATRICE
• Née en 1954
• Vit et travaille à Avignon
Au départ: des lieux, des choses, des situations… qui ont capté mon attention.
Puis des photographies, des esquisses, des croquis… pour aboutir à une production picturale souvent de grand format.
Sur le support, privilégiant de la toile libre, s’associent dessin et peinture.
Les sujets récurrents: les machines, l’univers industriel, les lieux abandonnés, les ateliers, mais pas seulement.
Repères / Textes
Peindre par défaut? Peut-être.
Parce que j’ai toujours désiré écrire et que je n’ai jamais fait le pas. si j’avais choisi l’écriture, j’aurai sans doute fait la même chose: choisir des images, les redéfinir, les confronter, les donner à voir. Je peins ce qui me touche d’après des photographies trouvées ou faites au hasard de mes vagabondages.
Je peins surtout pour le plaisir toujours renouvelé de découvrir que ce que j’avais projeté n’est pas tout à fait ce que j’ai obtenu, je peins pour cette surprise là, parce que j’aime les outils, la texture, le silence de l’atelier, le temps passé à me confronter avec ce que le regard avait saisi.