SYLVE DAUCHET
PEINTRE
• Née en 1960
• Vit et travaille à Saint-Victor-la-Coste
«Domiciliée en Provence entre Avignon et Nîmes Sylvette Dauchet peint tout ce qui la trouble et soulève son cœur et son âme. Son art n’est jamais statique il est libéré. Ses gestes dynamiques rythmés par la musicalité de ses couleurs, mouvements et épaisseurs variables créent sur la toile des géographies vivantes qui nous emmènent d’en d’infinis voyages colorés»
Marie-Josée Barthès, responsable d’accueil à l’office de tourisme de Châteauneuf-Du-Pape.
«La peinture de Sylve est une réduction de la complexité du monde par l’enchevêtrement de l’horizontalité et de la verticalité ; la dynamique vibratoire des obliques, les clairs-obscures sont transcendés par la transparence de la couleur comme une exaltation de la lumière; un voyage vers la liberté et la sérénité…»
Sylviane Pied Directrice de recherches CNRS.
Un « Maitre en peinture » dont elle a découvert l’œuvre en 1977 et qui l’émeut encore à ce jour, la fulgurante émotion de Nicolas de Staël.
» L’atelier, son odeur, sa lumière changeante, le rythme de la création ; tout y est vivant, en équilibre. J’ai besoin de cet accord intime pour me sentir bien en peinture. »
SYLVE DAUCHET
PEINTRE
• Née en 1960
• Vit et travaille à Saint-Victor-la-Coste
«Domiciliée en Provence entre Avignon et Nîmes Sylvette Dauchet peint tout ce qui la trouble et soulève son cœur et son âme. Son art n’est jamais statique il est libéré. Ses gestes dynamiques rythmés par la musicalité de ses couleurs, mouvements et épaisseurs variables créent sur la toile des géographies vivantes qui nous emmènent d’en d’infinis voyages colorés»
Marie-Josée Barthès, responsable d’accueil à l’office de tourisme de Châteauneuf-Du-Pape.
«La peinture de Sylve est une réduction de la complexité du monde par l’enchevêtrement de l’horizontalité et de la verticalité ; la dynamique vibratoire des obliques, les clairs-obscures sont transcendés par la transparence de la couleur comme une exaltation de la lumière; un voyage vers la liberté et la sérénité…»
Sylviane Pied Directrice de recherches CNRS.
Un « Maitre en peinture » dont elle a découvert l’œuvre en 1977 et qui l’émeut encore à ce jour, la fulgurante émotion de Nicolas de Staël.
» L’atelier, son odeur, sa lumière changeante, le rythme de la création ; tout y est vivant, en équilibre. J’ai besoin de cet accord intime pour me sentir bien en peinture. »