VIRGINIE PEYRE
ARTISTE TEXTILE
• Née en 1963
• Vit et travaille à Malaucène
Par besoin de liberté, mon travail privilégie le support textile, mais il utilise également le fil de fer, le papier, et encore d’autres matériaux, pour des oeuvres en trois dimensions, par exemple. Les formes de mon univers sont délibérément éclectiques: tentures murales, séries d’objets, mobiles, livre-objets. Possédant plusieurs techniques, (dessin, peinture, couture, broderie), je n’hésite pas à les mêler, pour arriver à mes fins. Cette « cuisine » personnelle renforce la singularité de mon expression . Enfant, je n’ai jamais su jouer, et, de nature solitaire, je rêvais et réalisais des petites choses, qui m’ont permis de m’adapter au monde, et cette façon d’être au monde m’a toujours accompagnée, sans interruption. Aussi je me sens bien plus d’affinités avec l’art Brut, qu’avec autre chose.
Mon biotope, au pied du Ventoux, impulse et nourrit ma démarche: sa beauté, sa générosité, son infinie diversité, toujours renouvelée, me traversent, m’habitent, me lient au Grand Tout, en me comblant de gratitude.
La création est une terre que je cultive comme un jardin. Ce qui pousse entre mes mains appartient au merveilleux et je le revendique.
VIRGINIE PEYRE
ARTISTE TEXTILE
• Née en 1963
• Vit et travaille à Malaucène
Par besoin de liberté, mon travail privilégie le support textile, mais il utilise également le fil de fer, le papier, et encore d’autres matériaux, pour des oeuvres en trois dimensions, par exemple. Les formes de mon univers sont délibérément éclectiques: tentures murales, séries d’objets, mobiles, livre-objets. Possédant plusieurs techniques, (dessin, peinture, couture, broderie), je n’hésite pas à les mêler, pour arriver à mes fins. Cette « cuisine » personnelle renforce la singularité de mon expression . Enfant, je n’ai jamais su jouer, et, de nature solitaire, je rêvais et réalisais des petites choses, qui m’ont permis de m’adapter au monde, et cette façon d’être au monde m’a toujours accompagnée, sans interruption. Aussi je me sens bien plus d’affinités avec l’art Brut, qu’avec autre chose.
Mon biotope, au pied du Ventoux, impulse et nourrit ma démarche: sa beauté, sa générosité, son infinie diversité, toujours renouvelée, me traversent, m’habitent, me lient au Grand Tout, en me comblant de gratitude.
La création est une terre que je cultive comme un jardin. Ce qui pousse entre mes mains appartient au merveilleux et je le revendique.